Bagnols-en-Forêt
Le Campanile de l’église Saint-Antonin date de 1717. Il contient une cloche fondue par Joseph Rosina en 1811. Il est entouré d’une jolie balustrade de ferronnerie.
Callian
Le petit cochon est une petite curiosité bien cachée au creux de la Tour de l’Horloge. Sculptée dans la pierre , on peut lire la maxime : «O toi qui viens de loin, si tu frottes mon groin, à coup sûr, très grand bien à jamais sera tien !»
Le cimetière de Callian. Ici reposent Christian DIOR, Nadia LEGER (Veuve de Fernand) et Sœur Emmanuelle.
Fayence
Le Campanile couronne la Tour de l’Horloge. L’embase est cylindrique et présente des ornements en formes de volutes.
Les Mascarons sont deux petites têtes situées à droite du porche de l’Hôtel de Ville. C’était une ancienne fontaine, le tuyau sortait de leur bouche.
Mons
Le Campanile est l’œuvre du Maître Forgeron Bonfante de Castellane. Il date de 1835. Les cloches sont au nombre de 3 : Vénus de 1488, Marie Anne Salveterre de 1501 et Musane de 1535. Elles comptent parmi les plus anciennes du Var.
Montauroux
Le Campanile de la mairie. Il est constitué d’un toit à la marseillaise ainsi que d’une horloge apposée sur la façade. Chaque heure qui sonne rappelle à tous les montaurousiens que Louis-Maurice FABRE fut un de leur bienfaiteur. Il donna ordre dans son testament d’acheter une horloge pour une somme de 1 000 francs en 1870.
Les linteaux de portes ornent et embellissent les portes des ruelles de Montauroux. Ils peuvent être en clefs de voûte, sculptés ou gravés. Ce sont de véritables signatures de francs-maçons ayant officié sur la commune et désireux de laisser leur empreinte à travers le temps.
La Fête de Saint Barthélémy. Chaque année, pour le 24 août, les montaurousiens brûlent l’effigie du Duc d’Epernon sur la place du village pour trahison. Les gascons et leur chef étaient devenus, pour eux, pires que les savoyards. Ils n’ont jamais admis que des étrangers viennent leur faire subir leur loi.
Saint-Paul-en-Forêt
Le Campanile et l’horloge : le 15 mai 1826, le maire, M. DE QUEILAR, exposa au conseil municipal la nécessité d’une horloge publique qui sonnerait le nombre d’heures que le journalier doit à celui qui le loue moyennant salaire.
L’horloge fut achetée à un certain Hilarion BOYER, de Mouriès (Basses-Alpes), au prix de 833 francs. Elle fut posée sur le clocher de l’église. Le campanile trône sur le sommet du clocher de l’église. L’embase est cubique et les quatre points cardinaux sont marqués par des boules terminale.
Seillans
Le Campanile est placé au sommet d’une des tours de l’église Saint-Léger. Son embase cubique est simple mais son couronnement en bulbes foisonne de volutes donnant à l’édifice une impression de légèreté. Une flèche est dressée vers le ciel et ornée d’un drapeau termine l’ensemble.
Le Dragon d’Ivanoff est une sculpture de l’artiste Yvan Ivanoff. Il vécut à Seillans, à la forge de la Grand’Rue et put y développer ses nombreux talents : sculpteur, peintre, inventeur, musicien.
Tanneron
Le Barrage de Saint Cassien. En 1962, la société EDF commence le chantier du barrage de Saint-Cassien à la suite, 3 ans plus tôt, de la rupture du barrage de Malpasset (sur la commune de Fréjus). Cette construction, sur le Biançon, de 66 mètres de haut et 210 mètres de long, retient 60 millions de m3 d’eau. Les vocations premières du barrage sont la production d’énergie électrique et l’alimentation en eau du Var et de l’ouest des Alpes maritimes. Le plan d’eau est situé sur 4 communes, dont trois du Pays de Fayence : Callian, Montauroux, Tanneron et les Adrets de l’Estérel.
Le Mimosa est une légumineuse appartenant à la famille des acacias. Le mimosa est arrivé pour la première fois en France, au milieu du XIXe siècle, importé par des horticulteurs cannois. Ces derniers l’avaient découvert en Australie, pays endémique du mimosa, qui possède quelques 700 espèces. L’essentiel de la production varoise vient du village de Tanneron, terre de mimosa. De décembre à février, période de la floraison, les collines du Massif du Tanneron se parent de petites perles jaunes scintillantes et très odorantes.
Tourrettes
Le bas-relief Maya. Le bâtiment de l’ancienne mairie s’orne d’un bas-relief maya, apposé à la mémoire de Joseph Marius Alexis Aubin (1802-1891), né à Tourrettes. Professeur à l’Université de Paris, précurseur de l’archéologie au Mexique, américaniste et paléographe, membre de la mission scientifique au Mexique sous Napoléon III, il collectionna les « codex » mexicains. Ses recherches sont conservées à la bibliothèque Nationale de France, au Musée du Quai Branly et à la Bibliothèque de Munich.